DU 5 au 27 SEPTEMBRE
“L’ART ET DES FESSES”
EXPOSITION DE MALVINA ARMAND DUBREUIL
Le travail de Malvina s’enracine dans l’intime. Entre journal personnel et photographie, elle explore la fragilité, les blessures, mais aussi les élans de vie. Ses images, prises sur le vif, captent la vérité des émotions et l’instant brut.
Photographier, pour elle, c’est à la fois se mettre à distance et se mettre à nu. C’est garder trace de ce qui vacille, tout en révélant une beauté sincère. Ses séries interrogent le regard porté sur soi et sur les autres, dans une quête de résonance et de partage.
Vernissage le Vendredi 5 septembre à 18h.
L’art-et des fesses.
« Et si l’on cessait d’avoir peur de se découvrir, à tous les niveaux ? »
Né d’une génération « parle à mon cul, ma tête est malade »
Je souhaite à travers cette exposition dévoiler l’intérieur d’une tête malade et
vous laisse l’honneur de parler de mon cul.
UNE EXPOSITION EN DEUX TEMPS
Avec humour, profondeur et une pointe d’impertinence, cette exposition
propose une expérience sensible autour du regard que l’on porte sur soi et sur
les autres.
Divisée en deux espaces, l’exposition invite les visiteurs à un double parcours :
d’abord une introspection poétique et photographique, puis une exploration
ludique et assumée du corps – et plus particulièrement, des fesses.
Un projet artistique qui joue avec les mots, les tabous et les codes esthétiques
pour questionner, avec bienveillance et profondeur, la notion d’intimité, de
pudeur et de regard social.
PREMIÈRE SALLE : L’ART
Dans cet espace feutré, le public est invité à une immersion dans des
photographies mêlées de poésie, portant sur l’émotion, l’âme, les blessures et
les désir d’être soi.
Les oeuvres, tirées sur papier d’art, sont accompagnées de textes suspendus
ou imprimés sur des voiles, dans une atmosphère intime, presque sacrée.
L’éclairage doux, les silences et les mots créent un cocon où chacun peut se
rencontrer.
Une mise à nu émotionnelle, subtile et touchante.
DEUXIÈME SALLE : DES FESSES
Après le coeur, le corps.
La deuxième salle change de ton.Les fesses, photographiées dans divers lieux
et situations, se montrent telles qu’elles sont : drôles, belles, communes,
multiples. Elles interrogent notre gêne, notre regard, notre obsession
collective.C’est sérieux, mais jamais solennel. C’est décalé, mais profond.
Car au fond, qu’est-ce qu’on montre vraiment quand on montre son cul ?